dimanche 29 décembre 2013

La mariée était en noir - William Irish

Titre original : The bride wore black (1940)
Traduit de l'américain par E. Michel Tyl
Traduction révisée par Emmanuelle de Lesseps

Editions Gallimard, folio policier, 1984 pour la traduction française, 268 pages

L'été dernier j'ai lu Fenêtre sur cour et autres nouvelles et je m'étais promis de revenir vers cet auteur, auquel on doit notamment La sirène du Mississippi et J'ai épousé une ombre.
Je voulais le lire dans des histoires un peu plus étoffées que des nouvelles.

J'ai vu l'adaptation de François Truffaut, avec Jeanne Moreau, il y a longtemps, à la télé. Je ne me souvenais pas de la fin, juste du mobile et d'avoir passé un bon moment.

Je ne voudrais pas trop en dire, je trouve que c'est beaucoup plus agréable de se laisser porter par le suspense (même si ici on connaît le meurtrier dès le départ et si probablement beaucoup d'entre vous ont déjà soit lu le livre, soit vu le film).
Le suspense ne réside pas non plus vraiment dans le mobile, on l'entrevoit assez facilement... La tension vient dans le fait de voir approcher la mort, de se demander si la personne qui frappe se fera démasquer et sur les circonstances de l’événement initial, celui qui a conduit à la machination que le lecteur voit se dérouler sous ses yeux.

La chute est plutôt inattendue, et différente de celle du film (ainsi que je l'ai dit, je ne m'en rappelais pas mais j'ai effectué quelques recherches sur internet)
J'ai trouvé l'écriture assez distanciée des personnages, je ne me suis attachée ni aux victimes ni au bourreau, que je n'ai cependant trouvé  ni sympathique ni antipathique.
Mais j'ai pris beaucoup de plaisir à lire cette intrigue, construite selon un schéma qui se répète mais sans que je trouve cela gênant. Je trouve même que la construction participe à la tension.

Voici le début de l'histoire :

- JULIE ! Ma Julie !
La voix suivit la femme dans l'escalier jusqu'au bas des quatre étages. C'était le murmure le plus doux, l'appel le plus fort de des lèvres puissent lancer. Cela ne la fit pas hésiter, ni rater une marche. Son visage était très pâle lorsqu'elle sortit dans la lumière du jour et rien de plus.
La fillette qui attendait près de la valise, à la porte d'entrée, se retourna et la regarda, presque incrédule tandis que Julie la rejoignait, l'air de se demander comment elle avait trouvé la force d'en finir. La femme parut lire dans ses pensées ; elle répondit à la question silencieuse.
- C'est aussi dur pour moi que pour eux, de dire adieu, mais moi je m'étais faite à cette idée, pas eux. J'ai eu tant de longues nuits pour m'endurcir. Eux, c'est la première fois que ça leur arrive. Moi, c'est la millième fois que je vis ces instants.
Et, sans changer de ton, elle poursuivit :
- Je vais prendre un taxi ; il y en a un là-bas. 
Comme la voiture approchait, la fillette la regarda d'un air interrogateur.
-Oui, tu peux m'accompagner si tu veux. A la gare de Grand Central, chauffeur. 
Elle ne se retourna pas pour regarder la maison, ni la rue qu'elle quittait. Elle n'eut pas un regard pour les autres rues qu'elle connaissait si bien, pour ce coin de ville où elle avait toujours vécu.
Elles durent attendre un peu devant le guichet où quelqu'un s'attardait. La petite fille, à côté d'elle, s'accrochait désespérément à son bras.
- Où vas-tu ?
- Je ne sais pas. Je n'y ai même pas encore pensé.
Elle ouvrit son sac à main, partagea en deux paquets inégaux la mince liasse de billets qu'il contenait et garda la plus petite partie dans sa main. Elle se pencha vers l'ouverture du guichet et posa l'argent sur la tablette.
- Jusqu'où je peux aller avec ça ?
- Chicago, et je vous rends quatre-vingt-dix-cents.
-Alors un aller.
Elle se tourna vers la fillette. 
- Tu peux retourner à la maison. Tu pourras au moins leur raconter ça.
- Je ne dirai rien, si tu ne veux pas, Julie.
- ça n'a pas d'importance. Qu'est-ce que ça change, le nom d'un lieu, quand on part sans retour ?
Elles s'assirent un moment dans la salle d'attente. Puis elles descendirent l'escalier qui menait au quai, demeurèrent un instant côte à côte devant la portière du wagon.
- Embrassons-nous, comme de vraies petites amies d'enfance.
Leurs lèvres s'effleurèrent, vite. "Voilà."
- Julie, je ne sais quoi te dire.
- Dis-moi adieu. Que dit-on jamais d'autre, dans cette vie ?
- Julie, j'espère que je te reverrai un jour prochain.
- Tu ne me reverras plus jamais.
Le quai s'éloigna. Le train s'engouffra dans le long tunnel. Puis il émergea de nouveau à la lumière, s'élevant au sommet d'une rampe d'où l'on pouvait voir les étages supérieurs des maisons, tandis que les rues transversales défilaient comme les jours d'une palissade.
Le train ralentit brusquement ; il avait à peine atteint sa vitesse maximale. 
- Vingt-cinquième rue, chantonna distraitement le contrôleur.
La femme qui s'en allait pour toujours se leva, prit sa valise et parcouru le couloir, comme si elle terminait son voyage au lieu de le commencer.
Elle était debout tout contre la porte de sortie, lorsque le convoi s'arrêta. Elle descendit, suivit le quai et prit l'escalier qui menait à la rue. Elle acheta un journal au kiosque de la salle d'attente, s'assit sur un banc et consulta la page des petites annonces.


François Truffaut avait ses propres raisons de choisir une fin différente, pour ceux qui voudraient en savoir plus sur l'adaptation (mieux vaut quand même voir le film et lire le live avant) :

Roman policier lu dans la cadre du challenge Petit Bac 2013 chez Enna, catégorie couleur avec le mot NOIR dans le titre.


mardi 24 décembre 2013

Je vous souhaite à tous un joyeux Noël
et de très belles fêtes de fin d'année


samedi 21 décembre 2013

Pain perdu de Noël

Le pain perdu est une façon gourmande d'utiliser les restes de baguette rassie.

Comme nous sommes à quelques jours de Noël, j'ai essayé d'y apporter une note de saison.
Chacun peut créer sa propre recette en fonction de ses goûts (et de ce qu'il y a dans son placard).

J'ai cuisiné les miens sous le coup d'une impulsion, normalement  il faut des fruits secs et des noisettes concassées. Au moment de prendre les raisins secs dans le placard, je me suis aperçue qu'on les avait déjà mangés :-) ! Et je n'avais pas de noisettes non plus. J'ai utilisé de l'Amandin.

Ingrédients pour 4 personnes :

- 2 œufs
- 250 ml de lait
- restes de baguette
- 100 grs de sucre en poudre
- Amandin
- épices pour vin chaud (on peut aussi utiliser des épices pour pain d'épices ou juste de la cannelle)








Réalisation :
Faire chauffer le lait et y plonger le sachet d'épices pour qu'il infuse, et laisser refroidir. Lorsque le lait est froid, ôter le sachet d'épices, ajouter les œufs et le sucre en poudre. Fouetter quelques instants. Ajouter l'Amandin et mélanger.
Détailler la baguette en cubes et répartir les cubes dans des ramequins. Verser dessus le mélange lait/œufs/sucre/Amandin.
[J'ai fait un essai avec deux ramequins supplémentaires, dans l'un j'ai ajouté un Spéculoos émietté, dans l'autre du chocolat à croquer râpé.]
Mettre à four froid, régler le four sur 220°, lorsque le four arrive à T°, je laisse 2-3 mn de plus et c'est prêt. 






La 1ère version a fait l'unanimité, les enfants ont bien aimé également la recette avec les Spéculoos (j'adore les Spéculoos mais dans ma recette, j'ai trouvé que c'était un peu trop sucré pour mon goût). La recette avec le chocolat a bien plu également, mais il était un peu trop cuit, il faut que j'arrive à le rendre liquide sans qu'il chauffe trop. 

Recette réalisée dans la cadre du Challenge Il était une fois Noël chez Petit_Spéculoos, Chicky Poo et Samarian.



vendredi 20 décembre 2013

Fondue au chocolat

Aujourd'hui, pour le Challenge Il était une fois Noël, on partage des recettes gourmandes.

Je n'ai pas eu le temps de faire une recette de Noël proprement dite. Alors j'ai fait une fondue au chocolat.

Pour 4 j'ai  utilisé les 2/3 d'une tablette de 200 grs chocolat à dessert (noir). (Cassée pour séparer les carrés les uns des autres et mis à fondre avec 3 cuillères à soupe d'eau 3 mn au micro ondes à 1000 W)

A tremper des morceaux d'ananas, des rondelles de banane, des quartiers de mandarines et des chamallows.


Mes préférés sont la mandarine et l'ananas ;-)




Challenge Il était une fois Noël chez Petit-Speculoos, Chicky Poo et Samarian

RDV chez les autres gourmands : Hilde, Petit_Speculoos, Chicky Poo,


mercredi 18 décembre 2013

Le spectacle de Noël - Anne Perry

Titre original : A Christmas Homecoming (2011)
Traduit de l'anglais par Pascale Haas
Editions 10/18, collection Grands Détectives, 2013 pour la traduction française, 187 pages

Quatrième de couverture :
C'est à Whitby, petit village de pêcheurs où le comte Dracula aurait fait sa première apparition - selon le roman éponyme de Bram Stoker -, que Joshua Fielding a décidé de produire sa troupe théâtrale. Avec sa femme Caroline, la mère de Charlotte Pitt, il s'apprête à livrer une adaptation inédite du fameux roman [...]

Décembre 1898. La troupe de Joshua Fielding est reçue à Whitby, chez Charles et Eliza Netheridge, dont la fille Alice a écrit une adaptation théâtrale de Dracula. Joshua Fielding doit monter le spectacle pour le présenter avec sa troupe le lendemain de Noël. Le scénario demande la réécriture de plusieurs scènes et on sent des rivalités et des tensions palpables au sein de la troupe. Par ailleurs Douglas,  le fiancé d'Alice, est hostile à ce projet.
A l'extérieur, la neige qui tombe en continu rend  les routes impraticables, isolant la demeure des Netheridge. C'est alors qu'un étranger, victime d'un accident dû aux intempéries, se présente à leur porte et demande l'hospitalité. Curieusement cet homme semble bien connaître l'histoire de Dracula, pourtant parue depuis peu, de même que le milieu du théâtre.

Cette histoire m'a beaucoup plu, aussi bien pour l'histoire de Dracula en toile de fond (que ce livre m'a donné envie de lire) que pour le milieu du théâtre (je fais partie d'une petite troupe amateur). J'ai par ailleurs aimé retrouver la mère de Charlotte dans un rôle de 1er plan. Avec les personnages d'Alice, de Caroline et d'Eliza, Anne Perry reprend dans cette nouvelle un thème qui lui est cher : la difficulté pour les femmes d'imposer leurs aspirations et de vivre selon leurs désirs dès lors qu'elles s'écarte des conventions sociales.
Caroline a affirmé son émancipation en épousant Joshua, un acteur plus jeune qu'elle. On sent avec Alice une personnalité affirmée, qui bravera les conventions pour suivre sa voie. Alors que sa mère, Eliza, cherche à se libérer de l'emprise étouffante d'une belle-mère décédée depuis longtemps.

Contrairement aux romans de la série Charlotte et Thomas Pitt, le lecteur n'est pas confronté à un crime dès le départ mais à un malaise et une tension grandissants. J'ai trouvé l'enquête en elle-même un peu sommaire et je suis restée un peu sur ma faim en ce qui concerne l'ambiance de Noël. A ces petites réserves près, ce fut pour moi un  bon moment de lecture.

Les avis de Lou et de Hilde qui ont également lu cette nouvelle pour la LC commune aux challenges Il était une fois Noël et British Mysteries.


D'autres lectures : 

Nouveaux contes de Noël d'Anne Perry chez Petit_Speculoos

L'Odyssée de Noël d'Anne Perry chez Syl

Cette lecture rentre également dans le cadre du Challenge XIXème siècle, du Challenge La plume au Féminin et du Challenge Victorien.









Note : Opaline renouvelle La Plume au Féminin en 2014.

mardi 17 décembre 2013

Christmas Pudding - Agatha Christie

Christmas Pudding est un recueil de 6 nouvelles d'Agatha Christie.

Seule la première, qui a donné son nom au recueil, se passe à Noël et c'est la seule des 6 que j'ai relue car je l'ai choisie pour l'ambiance de Noël qui est très présente.

Christmas Pudding (The adventure of the Christmas Pudding - 1960)

Il n'y a pas de crime dans cette nouvelle, seulement le vol d'un magnifique rubis. Il s'agit d'une enquête d'Hercule Poirot. On supplie notre détective belge de retrouver le joyau pour éviter un incident diplomatique. Pour ce faire, Hercule Poirot est amené à aller passer un Noël traditionnel dans une demeure anglaise. Cette perspective lui donne par avance des sueurs froides car il imagine ladite demeure traversée par les courants d'air et dotée d'un confort des plus rudimentaires.
L'intrigue ne dupe pas longtemps le lecteur, il est facile d'en deviner la clé. Mais ce qui fait selon moi le charme réel de cette nouvelle, c'est l'atmosphère, Agatha Christie nous décrivant ici un Noël familial et traditionnel anglais comme elle en a vécu dans son enfance.  La présence de deux collégiens donne un peu de fantaisie à l'histoire.
C'est une nouvelle que j'ai déjà lue plusieurs fois à cette époque, je suis sous le charme à chaque fois.


Je lirai les autres nouvelles début 2014 et je viendrai compléter mon billet qui entrera dans le cadre du challenge Agatha Christie.


Christmas Pudding, écrite en 1960, est une réécriture d' Une aventure de Noël écrite en 1923, que j'ai également dans un recueil de nouvelles intitulé Tant que brillera le jour. J'ai lu les deux versions et pour moi il n'y a pas photo, je préfère nettement la version de 1960.

J'ai lu cette nouvelle dans le cadre d'une lecture commune pour les challenges British Mysteries chez Lou et Hilde et Il était une fois Noël chez Chicky Poo, Samarian et Petit_Speculoos.

jeudi 5 décembre 2013

L'égorgeur de Westminster Bridge - Anne Perry

Titre original : Bethlehem Road, édité en 1990
Traduit par Anne-Marie Carrière
Publié en langue française aux Editions 10/18, Département d'Univers Poche, collection "Grands Détectives" en 2001, 379 pages.


Quatrième de couverture :
Le gentilhomme ligoté au réverbère de Westminster Bridge est vêtu très élégamment - fleur à la boutonnière, chapeau haut de forme, écharpe blanche habillée-, mais il est mort, la gorge tranchée. Qui a tué Sir Lockwood Hamilton, cet homme charmant et l'un des plus consciencieux membres du Parlement ? Avant même que l'inspecteur Thomas Pitt ne commence son enquête, l'un des collègues de Sir Lockwood rencontre lui aussi la même destinée au même endroit. Charlotte, la tendre épouse de Thomas, ne peut résister à l'envie d'aider son mari. Mais pendant ce temps, l'égorgeur de Westminster Bridge continue son oeuvre macabre...


Tome 10 de la série "Charlotte et Thomas Pitt"


Il y a plus de deux ans que je n'ai pas lu de livre d'Anne Perry.
Dernièrement, j'ai eu envie de me replonger dans ces enquêtes victoriennes. J'avais prévu de rejoindre le groupe des LC avec Bianca dès l'été dernier mais j'ai  loupé le coche.

Cette enquête-ci  nous plonge au cœur de Londres,  dans le quartier de Westminster, au printemps 1888, quelques mois avant que Jack L'Eventreur ne commette son 1er crime (31 août). De nuit, à la sortie des séances de la Chambre des communes, des parlementaires sont égorgés puis ligotés avec leur écharpe à un réverbère de Westminster Bridge. 

Thomas est évidemment amené à enquêter dans le milieu politique. Au gouvernement, le Home Rule, un projet visant à donner à l'Irlande un parlement autonome tout en restant sous la tutelle britannique, a ses partisans et ses opposants. Mais, curieusement, les victimes ne sont pas des hommes politiques de premier plan.

Lorsqu'un deuxième meurtre est commis, une nouvelle piste apparaît ...

Comme toujours avec Anne Perry, j'ai aimé le contexte historique. Cet opus est très axé, à partir de l'histoire d'une femme en particulier, sur les droits de la femme - ou plutôt sur leur absence presque totale de droits, les pères et maris ayant à cette époque quasiment tout pouvoirs. Les premières lois permettant aux femmes mariées de conserver leurs droits sur leur propriétés personnelles datent de 1884. Auparavant tous leurs biens devenaient irrévocablement la propriété de leurs mari, y compris en cas de divorce.

Cette époque voit aussi les mouvements militants pour le droit de vote des femmes prendre de l'ampleur. Paradoxalement, toutes les femmes n'y sont pas favorables. Certaines sont persuadées que seuls les hommes ont la sagacité et les connaissances nécessaires pour élire les membres du gouvernement. Par ailleurs elles craignent qu'une telle réforme ne leur fasse perdre la protection que leurs doivent légalement leurs maris.
Les femmes de nature indépendante sont méprisées, les femmes divorcées bannies de la société. Une domestique divorcée ne trouverait pas d'emploi. 

J'ai trouvé que l'intrigue de cette enquête manquait de relief. Certaines pistes tournent court assez vite.
J'aurais aimé pour ma part que celle autour du Home Rule  soit un peu plus étoffée et la question de l'autonomie irlandaise, par ce biais,  plus développée.
Les meurtres  se succèdent sans réel rebondissement, à part le coup de théâtre final, dans les cinquante dernières pages du récit. Et le lecteur réalise alors qu'il n'avait pas en main les éléments nécessaires à la résolution de l'enquête ! La vérité surgit, non comme le fruit de déductions, mais plutôt comme un lapin hors du chapeau d'un magicien. Par ailleurs, il me semble que les mises en scène macabres laissaient plutôt entrevoir une autre personnalité pour l'assassin. Ce n'est que mon ressenti, bien sûr ;-)

Ce récit demeure malgré cela un moment de lecture très agréable.
Il s'agit d'une lecture commune partagée avec Bianca, Fanny, Sybille, Céline et Claire (billet à venir)
Rendez-vous début janvier avec L'Incendiaire de Highgate.



Je n'ai pas résisté pas à partager ici quelques œuvres du peintre anglais victorien Augustus Edwin Mulready (1844-1904) - connu notamment pour ses peintures représentant des enfants des rues de Londres - et  du peintre irlandais George William Joy (1844-1925).

Si vous souhaitez en lire davantage sur Londres au XIXème siècle, vous pouvez consulter ce site.



Cette lecture entre dans le cadre des challenges suivants : British Mysteries chez Hilde et Lou, I love London chez Maggie et Titine, La plume au féminin chez Opaline, le Challenge Victorien chez Arieste et enfin le challenge XIXème siècle chez Fanny et Keidra


mardi 3 décembre 2013

J3 au chalet - Playlists de Noël

Aujourd'hui au chalet on fait la fête en musique et nous partageons nos playlists et découvertes.

Commençons par une petite danse

Rockin around the Christmas Tree (Brenda Lee)



Et peut-être Let it snow de Dean Martin exaucera-t-elle mes voeux




Car bien sûr I'm dreaming of a White Christmas (The Drifters)



Et surtout je vous souhaite à tous un FELIZ NAVIDAD !






Il règne un air de fête avec les Playlists de : HildePetit_SpeculoosChiky PooThomas et son calendrier de l'Avent musical, NatoriaLes femmes qui lisent sont dangereuses, Salsera, Cazadora, Samarian, Bercelune, Syl, Un chocolat dans mon roman, Même les sorcières lisent, Sharon



Bibliothèque de livres gratuits (audio + texte)

Je me permets de faire une petite publicité pour le site Littérature audio.com qui propose  une bibliothèque de livres audio gratuits (et leur version texte, renvoyant sur différents sites).

C'est Noël avant Noël !  ;-)





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Le catalogue est bien fourni. Bonnes lectures !

dimanche 1 décembre 2013

Tea time au chalet



Le thé est ma boisson préférée, et de tous les thés, le Thé de Noël (noir) est LE THE que je préfère.
Dès que la saison de Noël approche, et que la petite boutique de thé où je m'approvisionne en a reçu, je m'y précipite pour faire le plein.

J'adore son parfum tout comme j'adore d'une manière générale les parfums associés à Noël : cannelle, pain d'épices, mandarine, etc...

Pour les friandises, je ne suis pas difficile ;-)  : petits sablés, pâte d'amande, fruits déguisés, marrons glacés, biscuits alsaciens, panettone, ... tout me va !!! :-)

Aujourd'hui, avec le thé, des petits biscuits alsaciens ...

Bon  dimanche à tous !

Tea-time partagé avec : Syl, Hilde, Même les sorcières lisent, Un chocolat dans mon roman, Petit-Speculoos, Avalon, Bercelune, Mélodie, Salsera, Cazadora, Samarian, Sandra, Pathcath, Mimi la Tortue, Chiky Poo, Thomas le chasseur qui nous présente en outre une vidéo musicale assez exceptionelle

Zadig nous présente ses décorations



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